Rester avec moi encore un peu, pour que Malheureuse,
Vous ne soyez plus, et que votre exquis être rêveuse,
Sois une force et une barrière afin que la partie peureuse,
Où même, J'oserais, indiciblement dire la petite anxieuse,

Subsistent dans votre vie peut être douloureuse,
Pour que de moi, je vous rende femme heureuse,
Que du plaisir et de l'attente, exprime une joyeuse
Envie de converser, que votre voix reste ténébreuse,

Ô ma cendrillon, ne changez pas de votre ombreuse !
Soyez celle qui fasse jaillir une imagination non soucieuse,
Une innovation dénouée de tous sens humains où charmeuse
De vos paroles vous me transportez dans votre sphère ensorceleuse !

Ô ma cendrillon, continuons nos poèmes, nos histoires moelleuses !
Dans une grande maison, vous me faites rêver de votre onctueuse
Beauté d'insondable, de fille inconnue, de Muse mystérieuse !
Ô je m'enivre de vous, de vos missives sucrées et délicieuses !

Tout est dans l'art de connaître ces rimes merveilleuses !
Permettant, de jongler en cherchant l'excellence scandaleuse !
Celle qui vous rendra dépendante de Tout, telle la religieuse,
Priant pour son idolâtre personnage en devenant sa serveuse…

Mais au fond, peut être devenez vous ma cendrillon Amoureuse ?

M.²s