Une nuit agitée, au milieu de cette contrée,
Rêvant de cette femme, de sa famille qui ne peut oublier,
Rêvant, de cet homme de feu détruire des maisons,
Cette colère remplit son corps de convulsion, comme d'un poison.
La matinée est enfin arrivée, complètement ailleurs,
Au milieu des rêves nuit, rêvant des jours meilleurs.
Il regarde son armure trop lourde, avec trois cadavres grillés,
On dirai même grillés à l'instant même, sans lutter.
Sans réfléchir, sans penser, d'un geste sûr,
Décide pour la première fois, de mettre son armure,
En partant des jambes jusqu'à la tête,
Il s'aperçoit que son armure n'était pas trop un casse tête.
Il se sent comme rassuré, protégé,
Il se sent bizarrement…léger,
Il ne peut décrire ce qu'il ressent,
Juste que son armure trop lourde, lui va comme un gant.
Il ne comprend pas…
( J'ai voulu réessayer, juste pour voir…)
Mickael
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continue! j'adore! | |
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j'aime beaucoup ! bises Louann |
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louann |
trés beau! | |
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beau comme toujours | |
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Un nouvel essai tout ce qu'il y a de plus réussi! Bravo Michka. | |
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