Je crois à ces fables qui traversent le temps
Je crois à ces monts qui resteront toujours blancs
Et à ces chats d'aujourd'hui comme d'antan
Qui se trouvent sur les toits jusqu'au soleil levant
A la lune qui sourit face aux amants
Qui croient en tout et brillent de leur sourire d'enfant
Et aux héros qui le jour du jugement
Sans regrets, ne renieront aucun engagement
Je crois en nous comme je suis certainement
Ce gosse effarouché qui prie le firmament
Je crois en nous comme je t'ai dans le sang
Et le coeur libéré toujours en te chantant
Je t'enlèverai une nuit d'un bel élan
Tu verras ma chérie, tu verras l'océan
Je sais que je survivrai dix mille ans
Quand je vois ton corps nu qui près de moi s'étend
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Commentaires
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Posté le 12/01/2007 à 19:12:30
très beau poème, Mider...! | |
MAZBRI |
Posté le 13/01/2007 à 12:41:07
belle prose, ca glisse, j'aime... | |
axelle |
Posté le 02/09/2007 à 02:21:56
sympa, ptetre un peu trop minet | |
Mr GB |