J'aurais aspiré de lui, si peu, mais pourtant de trop;
Un trop plein de quoi qui n'existe pas,
Un jour où il aurait su enfin de quoi,
Surgir et m'abrutir de ce trop plein, rien que pour moi;
J'aurais aimé de lui un brin, mais pourtant écouter,
Un trop plein de mots pourquoi pas,
Une nuit où il aurait su enfin parler,
M'envahir et m'apaiser, de ce trop plein d'amour que l'on aime choyer;
J'ai osé espérer de lui si peu dans ses bras,
M'enlacer et voyager avec les trop pleins de rêves,
Une minute seulement qu'on aurait pu partager pourquoi pas,
Les espoirs qui s'éprouvent ensemble, de savoir enfin de quoi;
J'aurais compris de lui à peine mais pourtant de trop,
Les trop pleins de futilité, toujours là parfois,
Une fois où il aurait oublié tout ça,
De ce trop plein, mais rien que pour moi,
Me prouver et m'étreindre d'un trop plein de caresse que l'on
savoure sur soi,
Tout ce trop plein que j'attendais de lui, qui n'existait même pas,
Une histoire où il aurait pu enfin savoir de quoi,
Tout ce trop plein pour nous deux, on en avait besoin.
Écrit par Muriel
Faisons des mots la simplicité à se laisser aller à nos envies, exprimer ce qui parfois dans notre incapacité nous ne pourrions avouer..
Catégorie : Divers
Publié le 17/06/2010
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bonjour Muriel, très très bel écrit, lu et relu et à relire encore et encore, "des trop pleins" peu et beaucoup à la fois, laissent comme un goût de trop peu plein à très bientôt |
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marie-ange-old |
magnifique* | |
MARIE L. |