petit perdu perdure dans les champs,
amis d'enfance pré d'un chant d'soleil sans vision abstraite,
chaque éclaircie est une merveille,
grandissant la porte close les math ne rentre qu'à coup de bleu d'azur ou est le problème,
petit pas rêvant d'une vie sereine loin de l'abreuvoir ou les démon s'abreuve pour te voir lèvres blême;
vie de bohème dans le coeur quelque poème près d'une bouteille
gauloise à la mains fumer s'éparpille laissant place au pupille,
contemple chaque signe de paix quand l'esprit ensevelie par mille est une nuit,
ou trouver le sommeil on ce replie sur nous même fuyant la vie sans défie,amertume au bout lèvres sans thune rêvant de ne jamais sortir du lit,
soleil éclaircie moi la peau réveille l'ardeur de mes veines ouvre le coeur.... plexus solaire,
près d'un livre mon coeur ébahie ma vie ce transporte mes mots résonne dans mon crâne,
l'écho d'un ricochet sur mon âme abat le crochet de l'hameçon d'égo
petit perdu perdure dans les champs,
amis d'enfance pré d'un chant d'soleil sans vision abstraite,
*pré= faute faite exprès pour essayer d'amplifier la vision du champs ainsi que du chant qui en émaner
le format n'est pas comme je le souhaiterai,embêter par le traitement de texte de fluminis, qui laisse peut de longueur...
Écrit par NoName
en buvant le fond d'une bouteille de coca ( mes freres me laissent toujours le fond ) je me suis mis à penser que la vie ressemble souvent à cette bouteille de coca, qu'il ne valait pas mieux rester au fond sinon personne n'en voulait
Catégorie : Amitié
Publié le 07/04/2014
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