Vil sourire que mon cœur a photographié
Celui que tu as porté pour me tuer
Les aiguilles, que tu as planté, sont en fer
Sont jusqu'à maintenant, plantés dans ma chair
Mes yeux témoignent de réminiscences continues
Le passé m'étouffe et futur annule sa venue
Des mots résonnent quand le silence se crée
Ma vie n'a plus de valeur, l'ai-je oubliée ?
Existait-elle seulement ?
Et si, toi, tu n'avais pas existé,
Est-ce que mon sang aurait coulé ?
Et si, je ne t'avais pas aimée,
Ces ténèbres m'auraient inondés ?
Et si,
Je ne trouverais aucun remord, ni blâme
Ma vie s'illuminerait et délecterait mon âme
L'amour n'aurait de bémol, ni de crainte
Ces chaines n'auraient nulle étreinte
Il n'y aurait en moi aucune peine
Bonheur serait le mot crié
Si tu ne m'avais pas tué...
Pourtant,
Je ne veux pas te maudire
J'ai peur de te haïr
Mon amour est une anomalie
Ton enfer me suffit
Brulons, dans tes péchés
Ton engeance sera pardonné
Et qu'est ce qui ne te sera pas, pardonné ?
Tu es indéniable, je ne veux pas te damner
Tu es le diable, je ne veux pas te damner
Va-t-en, je ne veux pas te revenir
Je ne sais plus me maintenir mais souffrir
Les pôles ont disparu
Je ne vois plus
Je vis vers la mort
Quel est donc ton sort ?
Je suis indécis et face a toi
Exorcisez mon esprit, c'est en moi
Qu'elle rit, qu'elle rit
Écrit par Novicepoetique
Novice parce que même le meilleur des hommes,je le serai quand même.
Catégorie : Amitié
Publié le 27/09/2014
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