II
je savais l'amour
le coeur qui bat
l'amour dans le corps
je savais tout cela
je savais l'amour
le sourire des filles
l'amour dans le coeur
je savais tout cela
je savais l'amour
les immenses chagrins
l'amour dans les pleurs
je savais tout cela
je sais bien les jours
et je reste gisant
dans les jours solitaires
qui s'allongent
qui s'allongent
dans des cercueils en aubes
où s'allonge
où s'allonge
l'ombre solitaire
ah ah ah
du pendu
du pen
du
Écrit par Poesie nocturne
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Catégorie : Amitié
Publié le 19/05/2016
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Commentaires
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Posté le 19/05/2016 à 19:52:10
Beau et inquiétant, j'apprécie particulièrement les 3 derniers vers du pendu ! Bonne soirée, Galerion. |
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Galerion |
Posté le 20/05/2016 à 22:44:23
bien sombre... | |
MARIE L. |