Elles ne tombent plus en lourds sanglots
Ne soulèvent nul corps en détresse
Mais volètent, tendres caresses
Et viennent se poser sans heurts
Sur la pointe de mon sabot
A peine un peu trop loin du cœur.
Le froid protège des brûlures
Pourtant ces larmes encor' gelées
N'ont plus leur ancien goût salé
Et depuis ce frisson trop doux
Je regrette le temps sans armures
Ou tièdes, elles coulaient sur ma joue.
Écrit par Pops
« C'est l'inconnu qui m'attire. Quand je vois un écheveau bien enchevêtré, je me dis qu'il serait bien de trouver un fil conducteur. »
Catégorie : Divers
Publié le 22/06/2008
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Commentaires
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Posté le 22/06/2008 à 13:29:50
Très beau poème... Bienvenue à toi parmis nous. |
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pichounne |
Posté le 22/06/2008 à 13:31:37
Magnifique, et bienvenue. | |
Sylvain |
Posté le 22/06/2008 à 14:06:17
Magnifique!! Bienvenue!! | |
lo |
Posté le 22/06/2008 à 17:21:53
très beau ... Bienvenue ! | |
louann |
Posté le 25/06/2008 à 19:13:08
OOOOOOOooooh c'est adorablement bien joué. On entre très bien dans ton poème, rien ne heurte et on coule sur lui comme ta larme sur ta joue. Bizuuxx Dreamx |
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dreamx |