Je surpris soudain cette feuille morte tombée,
Bercée par le vent, elle semblait indécise.
C'était un soir d'hiver... et je brûlais,
Ma vie ressemblera-t-elle à ce vol sans surprise ?
Froideur de vie, sous un soleil d'automne,
La brise soufflait pour envoler cette vie monotone.
Et quand les étoiles au loin scintillaient,
Les fleurs du printemps, de leurs sourires, m'illuminaient
Que pouvais-je faire ? Que pouvais-je dire... ?
Sinon que tu étais là... immobile.
Tu semblais lointaine et silencieuse,
Mais déjà, tes larmes me semblaient précieuses.
Car c'est cette perle rare que je voudrais chérir,
Ton cœur et tes mains conquérir...
Et quand la chaleur de l'été,
Envahissait l'éternité
Mes larmes, sur tes joues...
Dansaient et riaient de leurs amours.
Écrit par Rayando
"L'homme rêve uniquement pour ne pas cesser de voir"
Catégorie : Amour
Publié le 27/12/2008
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Commentaires
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Posté le 27/12/2008 à 13:47:09
Douceur et tendresse dans ce poème qui est très beau ! Amicalement Ange de lumière |
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Ange de Lumière |
Posté le 27/12/2008 à 16:04:05
magnifiquement tendre ! amitiés Louann |
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louann |
Posté le 27/12/2008 à 17:30:56
Merci Ange et merci Louann... je l'ai écrit il y a une éternité... je l'ai retrouvé par hasard... je n'ai rien voulu changer, même si ça me brûlait ! Souvenir d'un morceau de vie ;-) | |
Rayando |
Posté le 27/12/2008 à 18:36:58
Oui très bel écrit, très touchant! snif! | |
lo |