Cœurs éreintés, dans le soleil qui s'effondre
Lueur et clarté, dans mon âme font fondre
Les espoirs enlacés, dans les restes des tombes
Souvenirs et pensées des nuits de pluie qui tombe
Jardins éphémères d'un idylle immortel
Qui périt chaque soir pour renaître au matin
Une boucle répétée, tel un long battement d'aile
Qui murmure au vent amer entre les cimes des sapins
Un sourire, un éclat, un joyau
Aussi rare et précieux qu'un amour idéal
D'où naît impétueusement ce pur noyau
Centre névralgique de cette évasion sociale
Futiles entremets au menu de la vie
Où l'amour n'est qu'une triste bouchée
Les fantômes dont l'éclat s'est ternit
Au fil des années en perles se sont changés
Goûtons aux factices inconscients
Où ère l'âme des peines éperdues
Ceux qui ont un jour aimé pleinement
N'ont aujourd'hui à la bouche que le mot perdu...
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