Un air de guitare libre et vibrant
Une brise, un vent, sourd, innocent
Dans les embruns du cœur céleste
De la haine et des pleurs je me déleste
Un quatrain, trois vers et deux points
Solitude, histoire entremêlées au loin
Je ne suis que le messager du feu
Courant parmi les gravats et les dieux
Qui sommes nous pauvres voyageurs
Marchant dans l'ardeur douleur
Ivres d'inconscience et avides de sens
Brûlant dans le volcan comme mon âme dans l'essence
Songes et mirages comme compagnons de route
Traçant à nos utopies un chemin de déroute
Quand la peur encercle le bonheur
Le reflet du cœur n'est plus que paraître
L'esprit retardant toujours l'heure
Où dans les flammes, je perds le goût d'être...
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Commentaires
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Posté le 19/08/2016 à 16:49:11
C'est un très bon poème, un bon "compagnon de route". Merci ! | |
jacou |