Tu songes, tu songes, je le sais.
Je lis dans tes yeux un univers songeur,
Et quand tu me regardes, tu m'ouvres les portes,
D'un monde de fantaisies où les couleurs,
Deviennent les parfums de mes états d'âmes.
Je découvre des senteurs, des nuances inconnues
Ou la mélancolie porte la vertu
D'un être aux contours vaporeux,
D'une âme aux rêves infinis
Qui parcourt le monde,
Cherche son chemin dans la nuit.
Ton voyage enivre mes sens
En quête de rêves.
Il éclaire le sommeil obscur,
De l'être endormi
Qui me murmure, par delà le fleuve infranchissable
Depuis la rive ou s'agitent les moins sages.
J'entends leurs cris qui colorent l'horizon,
Intimident l'astre du jour
Et le pressent dans son lit inhospitalier.
Tu souris, et la demi-lune qui fend ton visage
Me rappelle leurs rires carnassiers.
Mais il contient à lui seul, les promesses
D'une volupté sans faille.
Il assourdit l'appel de la mort,
Il éteint la mémoire de mes torts.
Et me fait entrevoir
Dans les plis de ta robe,
Un espoir vermeil,
Un espoir qui me porte
Vers le gouffre obscur
De tes félicités.
Écrit par Sanserato!
sans devise!
Catégorie : Divers
Publié le 08/01/2009
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de Sanserato! au hasard |
Annonces Google |
Quel bien joli poème Sanserato !, bel écriture et une touche de tendresse. Bienvenue sur le site d'Icetea. Amicalement Ange de lumière |
|
Ange de Lumière |
Merci Ange de lumière! | |
Sanserato! |