Si j'aime tant ta peau, c'est pour son doux parfum,
Terrible tentation dont je ne vois la fin
Au bout de dix années passées à désirer,
De mes doigts hésitants, un jour, la caresser.
Si je meurs à la vue de tes lèvres rosées,
C'est qu'en secret je rêve d'en recevoir baisers,
Plaisirs et voluptés qui berceraient mon cœur,
Consumeraient mon âme d'une exquise chaleur.
Si ton corps rayonnant, d'une immense beauté,
Eveille la passion en mes yeux déroutés,
C'est que ton être entier s'élève au rang de l'art
Au milieu du désert, de ce monde blafard.
Bérengère, en mes cieux, c'est l'astre de l'amour
Que sans foi tu éteins, un peu plus chaque jour
Où tu jettes à la mer mes envies, mes espoirs,
Me laissant vide et froid, égaré dans le noir.
Écrit par Seymour
"Le doute est le commencement de la sagesse." [Aristote]
Catégorie : Amour
Publié le 04/07/2011
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Commentaires
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Posté le 05/07/2011 à 07:52:18
Très belle poésie dédiée à un amour qui me semble encore platonique . | |
TANGO |