Quand le sol d'acier sera si froid,
l'humanité maniée par la peur,
lorsque la terre sera en effroi,
et le ciel déjà bien nuageux à cette heure,
d'un paysage dévasté et gris,
des passages de bonheur détruit,
quand la foule luttant sera en pleure,
l'individu s'abandonnera, il se meurt.
Telle la grandeur de l'âme du bouddha,
lorsque l'être maléfique vint à ses côtés,
pour le vaincre de toutes ses saines pensées,
le maître ne lui apporta que de la joie,
ainsi les chaînes de vie de cet entrain,
l'amour triomphe toujours,
ne souhaitant que de bien au mal qui l'entoure,
voir fleurir autour de nous ce que l'on sèmes sur notre chemin.
L'Homme hésitant devant saisir sa chance,
agir avant le raz-de-marée,
avant qu'un portrait serein de ce monde nous soit enlevé,
que le monde visionné ci-dessus n'avance,
pour ne manier dans cette ère qu'une eau emplie de sagesse,
ne s'armer que des feux de tendresse,
ne lancer qu'un vent de douceur,
protéger la terre et effacer la douleur.
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J'aime ce poème qui se veut optimiste et nous entraine vers cette eau emplie de sagesse | |
roserose |
Voilà un formidable tableau Qui nous laisse des frissons Où sont passé nos idéaux ? Demandons-nous à l'unisson |
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schweepouille-deleted |
Sagesse et tendresse sont les deux mamelles où boire le bonheur. | |
jacou |
Merci à vous pour ces mots très touchants, Bonne soirée ! Amitiés. |
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Sophia |