Si vous saviez à quel point je me tais,
A quel point je n'ai pas les mots pour décrire ce que je ressens,
Comme si des mots doux pouvaient cicatriser une plaie.
ou des mots bref, où l'on met bien l'accent.
pour faire parler nos sens, et notre mécontentement.

On se tais au noms de ceux qu'on aime.
les mots de trop peuvent tout changer,
un peu trop loin, presque de la haine,
des injustices, que l'on voudrait plaider.
au nom de la loi, et des personnes abîmées.
Faire cesser nos cris intérieurs, effroyablement dispersés.

Sur la route du bonheur nous aimerions marcher,
et toujours y croire,
peut importe à quel prix il est.
mais nous avons tendance aussi à oublier,
que le bonheur n'est pas une victoire,
mais un bien enfoui dans nos pensées,
avec ces mots que l'on trouvera sûrement un jour,
il n'est jamais bien loin,
comme nous avons l'habitude de dire.

Penser aux choses merveilleuse qui pourrait nous arriver,
nous aide à voir plus loin,
les mots méchant que l'on avaient en tête ont disparu,
la peur, l'angoisse et la colère,
ne sont plus qu'à présent,
comme notre corps à la fin,
de la poussière.

Même si la tristesse l'emporte,
les mots ont toujours agit de la sorte,
nous réconforter ou bien nous faire pleurer,
n'y pensons plus,
nous verrons bien notre destinée,
penser aux mots que j'aurai pu te dire,
ou s'en aller.