Dans l'enfermement de l'âme
Je cherche un murmure d'échappatoire
Se brisant dans l'éclat des lames
Arborées sur les murs de l'abattoir.
Encerclé de par la collision des souvenirs
Saturé dans la confusion des soupirs
Je m'égare dans le remord spectral
De cette lente mort à l'odeur de fable.
Cloué au seul à l'ombre des martyrs
Statué au seuil de ma sombre satire
Je m'enlace dans les braises de l'angoisse
Je m'efface sur le trapèze de cette paroisse.
Quand le lendemain se meurt du passé
Dans l'heureux destin si bien dissimulé
J'en ai perdu la clés du jardin de la vie
Mon dû égaré au labyrinthe Nostalgie.
Affaibli, je n'ai que trop tard compris
La morale si fatale de cette fable
La vie a dans mon désespoir anéanti
L'oracle inavouable de mes coupables.
Écrit par Stev
Mieux vaut mourir incompris que s'expliquer toute sa vie.
[ Shakespear ] Catégorie : Triste
Publié le 04/09/2011
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Commentaires
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Posté le 05/09/2011 à 22:50:23
Fait une grimace, et PAN! Une seconde de délire insensé qui allège la pensé de cette douleur narré que j'ai cru apprécié. | |
Lenigmatique |
Posté le 25/12/2011 à 19:02:25
j'ai voulu mesurer la profondeur et le puits s'est avéré sans fond. chapeau. |
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eco-blanchiment |