Le vent se lève puis il se fait tard,
Les gens s'élèvent mais ils sont fêtards,
J'ai cette envie d'être seul, un air froid;
Je suis bien en vie, mais j'ai ce lourd poids.
Et en crise je suis perdu,
Mes prises je ne les trouve plus,
Ces brises rendent farfelu.
Je suis une tempête qui t'emportera
Loin de la banalité et des scélérats,
Aux paysages parfaits on décèlera,
Avec le doux zéphyr t'admireras cela.
Décomposons les secondes, détruisons le temps,
Moralisons les places, éclatons l'espace !
Tu n'es jamais partis, ce n'était qu'une brume,
L'éclat de ta douce voix résonnait en moi,
Il reforgeait l'esprit imparfait de ma plume,
Le mistral soufflait : "Rien n'est à parfaire en toi",
En elle, car l'alizé soutenait mon idée,
Quand j'partais loin, les courants d'airs me persuadaient.
Écrit par Tarada
L'hôte de la paix nouvelle se trouve dans la conscience de l'humain.
Catégorie : Amour
Publié le 17/03/2016
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