J'ai trouvé cette Montre au sol,
Fêlée, dans ma poche, maintenant je somnole.
Je dors éveillé dans ce monde,
Mon âme perdue dans un autre,
Où les papillons ne meurent pas, sauf les vôtres
À la recherche d'une entité vagabonde,
À la recherche du temps perdu ?
Pour les fameux rêves auxquels j'ai cru ?
Trouverai-je une entité anti-temps,
D'un hôte passé digne d'un titan ?
Et une horloge forgée de titane,
Pour enfin se poser sous les platanes.
J'ai fuis le temps, j'essuie la table
Dans ce bar de l'éternité,
Je vend des cafés à prix abordable
Qui font oublier l'âge et les calamités.
Réalité.
Les papillons ne meurent pas devant moi,
C'est déjà moins heurtant mais toujours bien horrible,
Le monde regarde l'heure tant qu'elle est incompatible
Avec leur quotidien qui, pour moi, inspire l'effroi.
Écrit par Tarada
L'hôte de la paix nouvelle se trouve dans la conscience de l'humain.
Catégorie : Divers
Publié le 01/03/2016
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JeanneLo |
Bonjour Jeanne, ça serait abordable oui, tu parles bien le français ? | |
Tarada |
J'aime beaucoup ce poème | |
Eleidora |