L'acide coule dans mes veines
Et ce monstre m'habite.
Les rires s'effritent
Et bientôt; l'angoisse est reine,
Son souffle vif anime
Le coeur noir de l'abîme
Et ses pulsations,
À l'intérieur, font l'écho des compulsions
Elles m'étranglent d'un feu rougeoyant
De haine et de mépris,
Car c'est dans le miroir qu'est l'ennemi,
Et c'est en moi qu'est l'harmattan.
L'oeil agile, je guette la menace,
Le monde entier semble être ma mort,
Pourtant, sans la solitude tout s'efface,
Pour me laisser doutant de mon sort.
Chérie, le gaz est-il éteint?
-V.
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Commentaires
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Posté le 28/05/2017 à 09:58:43
Bienvenue à vous, avec votre bon poème à mi-chemin du tragique et de l'ironique, par sa conclusion. | |
jacou |
Posté le 31/05/2017 à 05:53:58
J'aime bien la chute.:) | |
Drine |