Des rêves merveilleux et colorés,
Je croyais que tu savais.
De l'eau miroitant les astres des nuits,
Je croyais que tu savais.
Une bouche suspendue à une déclaration,
Je croyais que tu ressentais,
Cet amour que je porte en moi.
Une nuit, sans lune, ombragée,
J'ai cru que tu saurais.
Des larmes coulant et s'évanouissant,
J'ai cru que tu saurais.
Un bouquet de fleurs fanées,
J'ai cru que tu ressentirais,
Cette nostalgie que je porte en moi.
Des milliers d'étoiles s'éteignant au fil du temps,
J'avais cru qu'elle saurait.
Un brouillard s'épaississant sur un lac paisible,
J'avais cru qu'elle saurait.
Une pellicule de poussière sur des vieux souvenirs,
J'avais cru qu'elle ressentirait,
Ce vide que je porte en moi.
Écrit par Vicmo
Le monde est devenu beaucoup moins poétique depuis que l'on sait que les étoiles sont des amas de gaz en fusion.
Catégorie : Triste
Publié le 03/06/2012
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Commentaires
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Posté le 03/06/2012 à 17:57:48
Très beau. | |
Intruder |
Posté le 03/06/2012 à 18:18:46
Il règne dans ce poème une atmosphère douce amère qui m'émeut, merci ami poète. | |
platon |
Posté le 03/06/2012 à 18:51:33
Merci à vous pour ces commentaires encourageants !! | |
Vicmo |
Posté le 03/06/2012 à 19:34:41
Superbe ! J'ai vraiment accroché, c'est très raffiné, je le relirai encore et encore :) | |
Liberty |
Posté le 03/06/2012 à 19:41:51
Très beau poème | |
Mandas |
Posté le 03/06/2012 à 20:15:11
Personnellement j'ai adoré. Il y a un genre de calme contemplatif ... | |
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Commentaires
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