Ô ma Laurine, tu es mon fantasme divin,
Si bien ton être que ton corps, seins et desseins,
Pieds et pensées, reins et mains. Et j'enlace ta grâce.
Oui je te désire toute, et pour finir t'embrasse.
J'espère que tu ne me prends pas pour indécent,
Pour un pervers, pour un dément, pour un idiot,
Un comme les autres (tous les mêmes !), comme un marmot:
Je n'y peux rien si je t'admire dehors, dedans !
Pitié accepte ma passion de tes belles formes,
De tes parties bien trop mignonnes qui m'impressionnent,
Car c'est aussi ce côté-là, oui, qui m'étonne:
Ça fait partie, comme tu le sais, du grand amour !
Là dans un coin tu me dévoiles un corps charmant
Auréolé bien de senteurs et m'attirant,
Unique tableau de couleurs, tout excitant,
Rendant le charme du visage encore plus grand,
Invitant mes mains et ma langue, tout en tremblant,
Ne loupant pas ce paradis presque indécent
Et tes pieds non lavés encore, tout transpirants.
Je les cajole, petits orteils, en m'enivrant,
En les léchant, mignons qu'ils sont, nus maintenant.
Tu as pour me séduire un corps bien alléchant !
Au rythme de ton vœu, j'avance en découvrant,
Intimité aimée, un monde émerveillant,
Me permettant de lire tes formes en m'éveillant,
En espérant, un jour, pouvoir être un amant.
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Vraiment délicieux ce poème ! "et tes pieds non lavés, encore tout transpirants" Que de sensualité. Chapeau bas, cher poète ! | |
Marouette |
Merci Marouette =) | |
Victor |