L'aube n'était alors plus très loin
Savourant sa marche dans le temps
Lentement, elle prenait un grand soin
De nous faire vivre les pires tourments
Chaque heure semblait une vie humaine
Sur de sombres souffrances exaltées
Lamentations et cris en vain
Personne ne viendra nous aider
Or, l'espoir n'était plus palpable
De fortes douleurs, juxtaposables
Mais dans la noirceur je la vis
Je choisissais, j'avais compris
L'espace d'un choix, je revenais
D'un long cauchemar illusionné
Puis, dans une grande lucidité
Je distinguais le faux du vrai
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Commentaires
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Posté le 06/08/2009 à 20:55:38
Superbe poème! Il faut parfois traverser bien des douleurs pour reconnaître le mensonge, ouvrir enfin les yeux et déchirer le voile des illusions. Amicalement B.R. |
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