En ses yeux.
Tout au long de la nuit je sentais près de moi
Une exquise douceur comme venue du ciel,
Un parfum envoûtant, la beauté qui larmoie
Lorsque s'enfuit la pluie et que naît l'arc-en-ciel !
De ma main je cherchais sa présence et sa vie
Mais c'était en mon cœur que son ombre dansait
Comme les fleurs, l'été, parfument nos envies
C'est à Elle venue que – tout bas – je pensais !
Tout au long de la nuit au secret de mon âme
En cette obscurité qui rend les jours heureux
C'est – petit à petit – que je perçus la femme
Et qui venait de loin et j'étais... amoureux !
Si les vents de la vie m'ont fait souvent souffrir
Et si le temps s'enfuit au géant sablier,
Toute au long de la nuit je retrouvais le rire...
En ses yeux, désormais, je peux tout oublier !
Zac
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J'adore le passage "Et j'étais... amoureux" ! Les points de suspension révèlent la surprise et l'émoi du personnage. Comme une belle conclusion de ce joli poème fleuri. Merci de ce moment intime partagé ici... | |
schweepouille-deleted |
Toujours un poème magistral offert par une plume experte, Zacharie ! | |
jacou |
oui schweepouille (j'ai du mal a écrire ton nom) les points de suspension sont le moment où, dans un demi sommeil, l'on ressent, l'on découvre: une réalité. |
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Zacharie |
Merci jacou de ton compliment mais tu le sais aussi bien que moi, seule l'écriture qui vient du c?ur aussi simple soit-elle(comme la mienne)offre parfois plus que ce que l'on pense! et cela me réjouit! |
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Zacharie |
Bonsoir iloa, Un cœur en secret Retrouve la vie Tant oubliée ! |
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Zacharie |
à iloa Dans le froid de ma nuit. Dans le froid de ma nuit je m'endors avec toi Même si tu n'es rien que mon songe blessé ; J'ai le froid dans le dos comme un geste insensé Qui espère, pourtant, entendre tes pensées Comme un geste de peu, comme un geste courtois ! Si mon incognito s'égare de ta vie Si je perds la raison à t'aimer follement Parmi tous les déchets que s'offrent les amants Lorsqu'il pleut des mots fous et, prématurément, Lorsque d'un geste on joue de ce qu'est toute envie ! L'envie d'un doux sourire et l'envie de l'aimer ; Lorsqu'on joue avec ça qu'elle est donc la tendresse Et la sincérité dont on crut les promesses Envolées de la vie qui en devient détresse Avec ainsi l'histoire et déjà essaimée ? Je sens bien ton absence en ce soir éconduit Moi qui ait préparé une lettre pour Toi Alors que tu t'enfuies là où l'on te tutoie, Vers un autre horizon et sous un autre toit Ainsi que fut hier, ainsi est aujourd'hui ! Et la nuit qui s'en vient tristement se déflore ! Aux secrets de tes yeux j'ai rêvé une femme En sa douce façon de deviner mon âme, Au crépuscule éteint et pourtant qui s'enflamme En la tendre folie de la faune et la flore ! Zac |
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Zacharie |
À Iloa le 23 09 2016 Mais tu ne réponds pas ! Il fait froid en mon cœur Comme la poésie quelques fois n'a de lieu Comme cette chanson que l'on connaît par chœur Et ce geste sans voix qui nous éteint les yeux ! Tu sais, cette chanson, «Â Maxime et Vanessa » Et que j'écoute en boucle en son «Â Mistral Gagnant » Aux perles de l'oubli tout ce qui nous laissa Le peut-être d'un rien à jamais contraignant ! Fut-il en tes yeux verts de bien belles beautés Le soleil d'un regard et qui t'émut toujours Comme en un doux reflet la grande Liberté Nous fait encore croire aux doux mots de l'amour ! Fut-il entre tes bras toute délicatesse Un homme qui saura protéger tes secrets ! Fut-il d'autres chansons qui ne soient en détresse Et qui – sur ton cœur nu – n'auront pas de regrets ! Le soleil s'est éteint mais la vie va son son cour Et parmi l'horizon où je sais ton regard Mes petits pas de rien ainsi toujours accourent Autant que je l'écris, autant que je m'égare ! Excuse moi du peu, pardonne moi mon rêve Il était infantile autant qu'en ma nuit blanche Il n'est plus – sous moi toit – que cette douce trêve A poser mes deux mains aux galbes de tes hanches ! Et si j'ai trop rêvé comme à ne plus t'entendre «Â Un jour d'épaule nue* » quand je t'aime à foison C'est que la nuit se tait où je peux me m'éprendre C'est que mon jour – sans toi – ne sait son horizon ! * Louis Aragon Le 23 09 2016 Zac |
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Zacharie |
Bonsoir Zacharie, Une magnifique poésie d'amour ! Belle soirée ! Mes amitiés Sybilla |
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Sybilla |
Bonsoir Sybilla, oui c'est un poème d'amour mais je me demande en quoi et pour qui se trouve son éventuelle beauté! connaissez-vous cette chanson de Bernard Lavilliers: "La musique est un cri qui vient de l'intérieur?" désolé de ne pouvoir vous joindre le lien Youtube! j'espère que vous l'écouterez! Amitiés. |
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Zacharie |
voici le lien youtube https://youtu.be/-5V45LSBmNQ |
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Zacharie |
à Iloa sur un texte de jean jacques Goldman «Â Quoi que je fasse Où que je sois Rien ne t'efface Je pense à Toi * ! Dans la nuit blême Et puis mon âge Quand bien je t'aime Plus de voyage ! «Â Quoi que je fasse Où que je sois Rien ne t'efface Je pense à Toi * ! Le jour se lève Après l'amour Et puis tout crève En un seul jour ! «Â Quoi que je fasse Où que je sois Rien ne t'efface Je pense à Toi * ! Le monde étrange Guide ma main Vers d'autres anges Et c'est demain ! «Â Quoi que je fasse Où que je sois Rien ne t'efface Je pense à Toi * ! Lorsque paraît La nuit mensonge Et ses secrets Pleurent mes songes ! «Â Quoi que je fasse Où que je sois Rien ne t'efface Je pense à Toi * ! Mais il faut vivre Écrire un : «Â non » Au fond d'un livre Et ton prénom ! «Â Quoi que je fasse Où que je sois Rien ne t'efface Je pense à Toi * ! Rien ne m'arrête Je reste là Lorsque s’apprête En l'au-delà «Â Quoi que je fasse Où que je sois Rien ne t'efface Je pense à Toi * ! L'aube s'en vient T'aimer encor Je ne suis rien Qu'ombre à ton corps ! «Â Quoi que je fasse Où que je sois Rien ne t'efface Je pense à Toi * ! Il pleut au vent De notre amour C'est trop souvent Trop de détours ! «Â Quoi que je fasse Où que je sois Rien ne t'efface Je pense à Toi * ! Zac Jean-Jacques Goldmann https://youtu.be/3Ssot8sKPYk Zac |
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Zacharie |
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