Brun et boueux le sable durci par la Manche
Dessine à lui seul des collines et des rizières
Les coquillages ont créé une zone blanche
Les mouettes volent en V et les vagues fuyèrent
A marée basse le pont n'est pas recouvert
Les tempêtes de sable et les vents nous poursuivent
Les phares bâbord et tribord, rouges et verts
S'aperçoivent et l'on sent les algues agressives
Le vent s'est infiltré sous chaque vêtement
Les grains, le froid, les courageux trempent les pieds
D'abord le froid. Puis des brûlures, par fragments
Comme si les nerfs ne savaient quoi envoyer
Puis, sous les cris des mouettes, la mer naît et grandit
Naît une île de sable, naît du sel, s'affermit.
Écrit par Zigzag
\"L\'art est un mensonge qui nous fait saisir la vérité\" Picasso
"Mon bonheur ne serait pas bien grand, si je pouvais dire combien il l’est… " (Beaucoup de bruit pour rien, Shakespeare) Catégorie : Divers
Publié le 30/04/2018
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de Zigzag au hasard |
Commentaires
Annonces Google |