J'errais par hasard sur cet immense et factice liberté
Qui caractérise notre société
Cette immense réseau en toile d'araignée
Que tout le monde voit sous le nom d'internet
J'y errais spontané comme j'écris sans contrainte
Hier et parfois en colère, parfois sans plainte
Quand par hasard j'entendis celle qui s'était peinte
Dans ma tête
Une chanson que j'aimais et que je ne retrouvais pas
Frustration! Plusieurs vers et rythmes elle inspira
Les paroles claires me seraient du charabia
Si par hasard je n'avais pas vu la comète
Une ambiance bleutée et de pales lucioles
Dans une dynamique douceur qui me colle
Dans du vent et mes anciens préjugés s'envolent
Je tourne et danse et mon corps jouit, se jette
J'ai envie de la mettre à lui seul à mon corps
Non. Finalement au monde, et sans un effort
Il ne sera pas jaloux et comprendra tout.
Les kikoulols qui se haissent en commentaires
Voient leurs poignets freinés par l'artiste gourou
Et ignorant la guerre les gens de la Terre
...
Comme un sonar continu la musique s'aténue. S'arrête.
Me donne envie d'aimer et d'aider, des l'aurore
Mes doigts prompts et cycliques, futés et pas si bêtes
La mettent et la remettent et la remettent encore.
Écrit par Zigzag
\"L\'art est un mensonge qui nous fait saisir la vérité\" Picasso
"Mon bonheur ne serait pas bien grand, si je pouvais dire combien il l’est… " (Beaucoup de bruit pour rien, Shakespeare) Catégorie : Evasion
Publié le 18/02/2019
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Yuba |
"...Voudrais-je être une comète ? je le crois. Parce qu’elles ont La rapidité de l’oiseau ; elles fleurissent de feu, Et sont dans leur pureté pareilles à l’enfant..." (Friedrich Hölderlin, "En bleu adorable...", traduction d'André du Bouchet) Que j'aime la musique, quand la haine me fait frémir ! |
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jacou |