Les eaux huilées et les terres habillées d'herbe
Renferment tant de vies qu'on y vit que du feu
De créatures on ne se figura qu'un jeu
Qu'une figurine mouvante aux dents acerbes
"Je ne connais ni le jargon ni mots savants
Je veux sentir l'air frais, gratter la terre humide
Je veux naître, aimer, vivre, et demeurer vivant
Maman ne meuglera pas à l'infanticide
Au moins j'ai de grands yeux et des cils abondants
Pièce d'une immense machine bétonnée
Je plains les moins mignons, au visage prudent
Ceux qu'il est moral de construire pour tuer.
Ce matin, tu caressais un chat sage et fin
Et souriait dès que le félin ronronnait
Ce soir, c'est steak haché, alors que tu connais
La tuerie, et qu'en toi, tu veux y mettre fin"
(message un peu long, désolée)
Il y à peine un mois, j'étais omnivore. Aujourd'hui je connais par coeur les arguments anti végan et je sais y répondre-ils se répètent. J'en profite pour rappeler que la viande a été sublimée (C'est l'histoire de la Viiiie!) et que sublimer quelque chose de discutable (la grâce d'une femme, la Famille, notre Culture Française), avec des mots pseudo- poétiques et SURTOUT de mal s'en servir(ex: discrimination), c'est insultant envers la poésie.
Écrit par Zigzag
\"L\'art est un mensonge qui nous fait saisir la vérité\" Picasso
"Mon bonheur ne serait pas bien grand, si je pouvais dire combien il l’est… " (Beaucoup de bruit pour rien, Shakespeare) Catégorie : Triste
Publié le 22/07/2018
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Triste à découvrir... | Poèmes de Zigzag au hasard |
Annonces Google |