Soleil couchant, laissant Lune grandissante,
à mon âme ardente d'un feu amoureux,
s'éteins lentement, annonce la mort lente,
du soleil ardent brûle mon corps d'un pieux,
Machiavélique, oh ! amour angélique,
qui face aux cieux n'est que poussière,
Heureux l'amoureux, et machiavélique,
l'ange de la mort exhaussant lumières.
Benjamin
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amour à découvrir... | Poèmes de -SpAG- au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 29/03/2011 à 22:32:21
Ton poème est court. Deux fois le mot machiavélique dans la même strophe, c'est trop lourd. | |
Iloa |