Et que tourne, que tourn' le soleil dans le ciel.
Et que les oiseaux chantent dès notre réveil.
Que soient ouverts les coeurs aux chants de la nature,
Qui nous a fait et qui, à la fin, nous appelle.
Elle qui par des nuits, attire à faire la veille
Pour satisfaire notre oeil, au coeur comme une cure.
Des arbres qui sont seuls pleur'nt en réponse au cieux
Grâce auxquels ils ont l'eau, et avec ça, la vie
Remplie de beaux tableaux, remplie de merveilleux.
Mais au loin comme un exutoire de la Terre
Comme un tyran, un monstre fumant de colère,
Tel un double de volcan, s'élève un grand dôme
Dans les entraill's duquel l'enfer se concrétise,
Tout aussi rouge et plein de feu, que l'on attise.
Et ceux que la chaleur brise inspirent des psaumes
A tout passant qui se rend compte de l'horreur
Qu'est de faire tant d'efforts pour avoir tell'ment rien
Quand d'autres possèdent le monde en serrant quelques mains.
Mais qu'y a-t-il à faire quand on vous fait peur ?
Qu'on vous dit "vous êt' libres" mais ne pouvez rien
Qu'on vous dit "travaillez" sinon ce sera pire
Qu'ils vous disent "crevez" en partant d'un grand rire.
Écrit par aliasniamor
"Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux" E. de la Boétie.
Catégorie : Divers
Publié le 02/12/2011
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poème un peu confus, je l'avoue mais ce vers-ci est pure merveille "des arbres qui sont seuls pleurent en réponse aux cieux" on sent néanmoins un grand souffle dans votre écrit, un grand désir d'écriture et c'est le principal selon moi ! bien à vous, alai+n |
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