Les sens tout mélangés, j'en oublie valeurs,
Notions de bien, de mal. Que reste-t-il à craindre ?
Tout perdu que je suis rien ne m'est plus à feindre :
Je n'ai qu'à dérouler ce que j'ai sur le coeur.
Etrangère ouvre-toi, tes secrets seront miens.
Petit matin venu, tout pareil à la nuit
En voyant le soleil je me serai enfui :
La passion hélas se passe de tout frein.
Dans les lumières brûle une nuit sans sommeil.
Profitons sans tarder d'un présent sans pareil :
Notre vie est unique, aube de nos idées.
Dans le feu je vois luire ô combien de frissons
Sur un lit ou dehors au milieu de buissons.
Allons cueillir les fruits qui nous ont assemblés.
Écrit par aliasniamor
"Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux" E. de la Boétie.
Catégorie : Divers
Publié le 06/09/2013
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Commentaires
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Posté le 06/09/2013 à 14:17:16
Inspiré de Morrison ? | |
Intruder |
Posté le 06/09/2013 à 23:28:10
Aah ! pas mal du tout, je reviendrai vous lire | |
flipote |