Gais lurons, joyeux et caressants.
Voila des enfants, le monde.
Comme orage qui couve et qui gronde.
Vifs ils nous sont toujours surprenants.
Des rires aussi vite ils passent aux larmes.
De tous leurs effets ils mettent l'émoi.
Cœur de leurs parents aux abois.
Tant de chagrin à vous fendre l'âme.
Que de peine on se donne, les consolant.
Que de si jolies mirettes séchées.
Sur nos cœurs et un baume posé.
De joie revenue ils s'en vont se mouchant.
Si peu de respect pour tant d'alarme.
Que le drame est alors feu de paille.
De les aimer s'est donc tant de travail.
Qu'à ce guet nous soyons toujours en armes.
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Commentaires
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Posté le 03/07/2011 à 19:47:25
j'aime bien. | |
eric |
Posté le 04/07/2011 à 07:58:08
Papa poule peut-être ? En tout cas une belle observation de l'enfance . | |
TANGO |
Posté le 04/07/2011 à 09:19:11
Merci de votre commentaire comme vous j'ecri beaucoups de poemes pour enfants et aussi des contes Andre.. |
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andre |