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La porte était entr'ouverte.
Sans doute l'avait-on fermée mal.
A moins que le loquet et la bobinette
-qui se disputaient sans cesse-
N'en soient venus à la rupture.
Toujours est-il que la porte baillait,
laissant pénétrer quelque courant d'air.
Au parfum libertaire.
Je la contemplai longuement
Jaugeant la distance
Comme prenant, sans bouger, mon élan.
Puis, d'un bond, hors de la pièce,
Au bas des escaliers,
Au coin de la rue,
Aux limites de la ville.
Et bientôt, aux confins du pays, la Frontière.
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Commentaires
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Posté le 22/03/2008 à 12:36:57
il est très beau ce poème | |
Ange-eli-78 |
Posté le 22/03/2008 à 12:43:15
J'aime beaucoup ce que représente ton poème... | |
sweet revenge |
Posté le 22/03/2008 à 13:35:23
très joli ce poème ! | |
Michka |
Posté le 30/03/2008 à 03:13:59
Merci cher anges-collègues ;-) et sweet revenge ! | |
ange7 |