Corbeille d'argent
Câlinée par le vent la corbeille d'argent
Ouvre bien grand son cœur lorsque vient le printemps.
Rutilant dans l'éther qui brasse ses couleurs,
Bébé de fleurs aimées de futiles lueurs,
Esprit qui voyage : dis moi donc qui tu es !
Invisible tu berces nos âmes enchaînées
Le cœur vaillant tu fais des heures par millier
Libre d'aller partout tu es faite comme nous
Et de toi nos voyons simplement les bijoux :
Depuis que l'homme existe il a la vérité
A son cœur qui blessé ne la reconnaît plus.
Rêvons de voir les fées par nos yeux libérées
Gageons qu'il va de soit que nous seront émus
Et continuons de croire à la beauté du ciel
Nullement loin d'ici mais si proche de nous
Tout par le fait d'aimer les fleurs et les cailloux
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