Le dos de l'épaule
Je ne connais rien tant que le dos de l'épaule
De cette femme rare qui Carole se nomme
Dans la grâce dansée de l'hémisphère du pôle
De brune nuque oblongue icône de madone
Je ne connais rien plus que l'absolu amour
De Rodolphe, le beau, sans visage et sans haine
Qui promène en ce monde l'objet de tout atour
Et se mêle au prochain sans détour et sans peine
Et je ne suis rien plus qu'un vecteur d'énergie
Un soleil explosé, exposé à l'encan
Depuis peu en éveil, prompt à prendre partie
Et à donner amour à qui se dit vivant
Vous, vous vous exposâtes comme aimants fragiles
Sur le mur en émoi que je viens d'imploser
Me revivre à nouveaux, transcrivant l'indicible,
Merci pour ceux qui, comme vous, surent me percuter
Et voyageant sans crainte de livrer qui je suis
Je prends tous les rebonds de réveiller en moi
Qui je suis est si beau grâce à vous mes amis
D'absolue volonté ma vérité aboie
© Bertrand Malherbe (droits de pensées réservés) ♫
Écrit par bertrand malherbe
©Bertrand Malherbe (droits de pensées réservés)☼♫…
Catégorie : Divers
Publié le 05/10/2012
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de bertrand malherbe au hasard |
Annonces Google |
Merci pour ce beau cri d'amitié. | |
flipote |