Un morceau de lumière qui descend la source d'un regard
L'ombre jumelle du cil et de l'arc-en-ciel sur le visage
Et alentour
Qui va là angélique
Et amble
Femme le temps qu'il fait
Le temps qui fait peu m'importe
Ma vie est toujours en avance d'un ouragan
Tu es le matin qui fond sur le fanal une pierre de nuit entre les dents.
Tu es le passage aussi d'oiseaux marins
Toi qui es le vent à travers les ipoméas salées de la connaissance d'un autre monde s'insinuant
Femme
Tu es un dragon dont la belle couleur s'éparpille et s'assombrit
Jusqu'à former l'inévitable teneur des choses
J'ai coutume des feux de brousse
J'ai coutume des rats de brousse, de la cendre et des ibis
Mordores de flamme
Femme liant de misane beau revenant
Casque d'algues d'eucalyptus
L'aube n'est ce pas
Est au facile des lisses
Nageur très savoureux.
Femme pose sur mon front tes mains balsamiques,
Tes mains douces plus ce que fourrure.
Là-haut les palmes balancées qui bruissent dans la haute brise nocturne
A peine. Pas même la chanson de nourrice.
Écrit par bonne chance
ne jamais baisser les bras !
Catégorie : Amour
Publié le 25/07/2006
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