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Oh douce, douce lueur
dans ton antre je demeure.
Toi qui jadis me sauva du noir
toi qui au perdu redonne espoir
par ta brillance. Eternelle chance
à celui qui peut te voir si pure
quand le soir tu viens caresser ces murs
redonnant ainsi vie et présence.
Combien hurlent, hurlent derrière ces montagnes
quand dans ta belle robe blanche tu apparais !
combien veulent te décrocher pour leurs compagnes
toi que le marin guète en quête de marées !
Blanche, de là haut tu scintilles.
moi dans mon lit, à mes côtés, je vois une fille.
Écrit par caballero
o temps suspends ton vol, et vous heures suspendez votre cours, laissez nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours
Catégorie : Amour
Publié le 19/08/2008
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Commentaires
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Posté le 19/08/2008 à 23:09:04
joli poème ! | |
louann |
Posté le 20/08/2008 à 12:49:27
Très doux. | |
Nighty |
Posté le 20/08/2008 à 16:01:15
essayez de lire ce poème en écoutant le morceau amazing grace et dites moi ce que vous ressentez !! | |
caballero |