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Tous rassemblés dans une grande pièce,
Pleurent six ou sept pauvres petits orphelins,
Car ils apprirent, avec stupeur, un matin,
Le décès de leur pauvre et tendre maman.
Imaginez-vous la douleur de ces enfants !
Déjà Dieu leur avait repris leur cher papa
Qui, dans sa vie, avait guidé leurs petits pas.
Le temps qui s'écoule leur paraît vraiment long.
Mais on ne s'aperçoit pas du temps qui passe,
Nous qui n'avons sur le coeur aucun gros chagrin !
"Mais ils s'y habitueront bien vite !" dit-on.
Non, car en y pensant, ils ont un grand chagrin.
M.P. novembre 2001
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