C'est la mort de l'organe vital
L'âme qui est en pleine nécrophagie
La chute de l'ange et l'adieu brutal
La consumation comme la fin d'une bougie.
L'azur tel une marée rouge de sang
Et le soleil, astre triste s'éteint.
Sur nos visages, le chaos puissant,
Étend le paraître sur nos teints.
Nos êtres battus à coups de préconception
Agonisent derrière de futils masques,
Nous rendant automates ludiques
Entourés de l'éternelle dévalorisation.
Désespoir des braves refusant ces normes,
Regardant mains liés l'aberration
Du monde, l'artificiel désolation,
Leur réel devenu illusion énorme.
Par Félix Marleau
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