Tu portais chaque jour le pain du boulanger,
Dont la chaleur est comme un rayon de soleil
Dans toutes les maisons où tu le partageais,
C'étais ta joie de vivre à nulle autre pareille.
Mais ce coin de ciel bleu s'est ternit sous l'averse,
Nos yeux soudain n'ont pas su contenir ses pleurs.
De savoir ton départ si tôt nous bouleverse,
Et laisse un grand vide partout dans les demeures.
Adieu Dédé l'ami, le juste compagnon
Tu nous manques déjà au jour de ton absence,
Reposes maintenant en paix car nous veillons
Sur tes proches témoins de nos condoléances.
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Commentaires
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Posté le 14/02/2015 à 14:57:52
Un poème magnifique de sincérité et de souvenirs dans la douleur. La première strophe à la douce ivresse de vivre laisse place à cette indicible douleur qu'est la perte d'un ami, puis au deuil en un enchaînement admirable de vérité et sensibilité, qui nous fait, plus que voir, ressentir les affres de ce chagrin. | |
Florent |
Posté le 17/02/2015 à 22:04:05
Merci Florent pour votre compliment | |
coolwater |
Posté le 18/02/2015 à 18:17:04
Bonsoir Vous rendez un bel hommage émouvant à celui parti trop tôt sans doute pour la famille et les amis ! |
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Pieds-enVERS |
Posté le 18/02/2015 à 18:57:00
Eh oui, un ami cher. Merci pieds-enVERS. | |
coolwater |