Je te perdrais, je te perdrais mais
Je t'attends, jusqu'à la déchirure
Jusqu'à ne plus savoir qui prend, et
Qui, nous a privés de la mesure
De tes murs lisses, je me hisse enfin
Au sommet de tes vierges absences
Aspirant les regrets incertains
Aux sillons de tes autres naissances
Si tu crois ta noria inféconde
Efface dans la boue l'or des mots
Que la trace avide de tes ondes
Réclame en souffrant son fardeau
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Commentaires
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Posté le 16/05/2011 à 18:17:22
Très beau poème triste. J'aime beaucoup "je t'attends jusqu'à la déchirure, jusqu'à ne plus savoir qui prend et qui nous a privé de la mesure". C'est très bien écrit et très parlant. Merci. |
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Marouette |
Posté le 16/05/2011 à 23:27:09
Merci Marouette ça me touche beaucoup | |
coramouh |
Posté le 17/05/2011 à 09:26:10
J'aime cette simplicité dans tes mots et ses si belles images. Bises ! |
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Nighty |