A force de brûler de mon ventre à mon cœur
Je me sens consumée en une étrange ardeur
Que je laisse gagner mes membres et la chaleur
Me semble disperser mon corps à la lueur
Poudrée de l'or vivant des rayons du soleil
Et mon être dissous dans l'éther virtuel
Poussière d'espoir fou, fragments de l'irréel
Emprunte les chemins vers cette autre étincelle
Se mêlant particules aux parfums de l'été
Se jouant des atomes, grisé de liberté
Parcourant sans effort l'espace distillé
Pour enfin retrouver cette autre éternité
S'arrêter pétrifié un temps devant sa couche
Et devenir ce vent qui souffle sur sa bouche
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Commentaires
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Posté le 17/09/2011 à 10:19:46
Quel bouillonnement intérieur ! Superbe. Merci |
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Iloa Mys |
Posté le 17/09/2011 à 13:53:06
J'ai du mal à commenter ta poésie ici. J'aime pas me retenir ou faire semblant quand quelque chose me touche. Mais ça tu le sais déjà. So... je peux au moins te dire que tu es le vent qui souffle sur mon coeur. Un de ces vents dont naissent les tempêtes. |
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Dehorian |
Posté le 18/09/2011 à 11:54:13
Merci Iloa et oui Dého...la tempête ;) | |
coramouh |
Posté le 18/09/2011 à 20:22:38
C'est si joliment dit ! | |
Ayase |