Chanson d'amour.
Les ondes passent,
Le monde pense,
Les lois de la terre s'enfoncent,
Mais mon amour pour toi c'est l'annonce
D'un renouveau, et la force
D'une grande foi.
Mon amour je t'aime,
Je t'aime.
Au-delà des mots,
Par delà des eaux,
Je communie, je m'extasie,
Je paradise nos envies.
O je t'aime mon amour,
Je t'aime.
Dans le vent brûlé par le soleil,
Je t'aime.
Dans les temps oubliés par le réveil
Je t'aime.
Sur la brise ensablée d'une chanson
Je t'aime.
Dans l'iris embué de remords
Je t'aime.
Sur le roulis incessant des mots
Je t'aime.
Dans la vision de l'écume des vagues,
Je t'aime.
Dans les sensations où l'on hume l'odeur des algues,
Je t'aime.
Sur les roses aux senteurs suaves,
Je t'aime.
Sur les ronces porteuses d'épines,
Je t'aime.
Comme le navigateur solitaire,
Aime la mer
Je t'aime.
Comme le vent terne balayant la morne plaine,
Je t'aime.
Comme la caresse du vent dans les feuilles du palmier,
Je t'aime.
Comme la tendresse du temps dans l'œil de l'ailleurs,
Je t'aime.
O oui je t'aime, je t'aime.
Que les jours sont tristes sans toi,
Mon amour.
Pourquoi ne me crois-tu pas ?
Pourquoi penses-tu que je ne t'aime pas ?
Pourquoi pleures-tu si souvent ?
Pourquoi la tristesse imprègne ainsi ton âme ?
Pourquoi ce vide en toi ?
Pourquoi ? Dis moi pourquoi ?
Pourquoi le passé le vis-tu ainsi ?
O mon amour, l'amour n'est pas ce que tu crois,
Et le monde n'a plus de foi.
Revivrons- nous un jour cet amour pur et mystique
Que nous avons connu ?
Rêverions- nous de nos âmes emblématiques ?
Espérions-nous ces lendemains paradisiaques ?
O mon amour,
Mon amour tu ne peux savoir combien je t'aime.
Tu ne peux comprendre le désir de ce je t'aime,
Notre monde est trop vil pour apprendre le je t'aime
Que je te dédie.
Les ondes terrestres sont prostituées
Et les ordres souillés,
Pour partager mon je t'aime.
L'amour que j'ai pour toi
Seul Dieu et moi pouvions le penser.
Seul Dieu pouvait le créer.
Pardonne-moi- si je ne te le fais pas montrer,
Pardonne- moi s'il n'est pas ensaché,
Mais cet amour là tu sais !
Vivra pour l'éternité.
Cet amour là vibrera dans les fibres de la divinité,
Quand la terre se cherchera encore.
Pardonne- moi de t'aimer ainsi,
Pardonne- moi si tu n'as pas compris.
Un jour peut-être, les temps t'harmoniseront
Sur les ondes de l'éther, qui t'emportera
Vers le sublime
Et le cosmique.
SEPTEMBRE 1997
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Écrit par daniel
"Les grandes pensées ne pénètrent que l'âme contemplative."
Catégorie : Amour
Publié le 08/06/2009
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Wouahhh, quelle magnifique déclaration... Amitiés Louann |
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louann |
C'est une déclaration d'un force incroyable ton poème, c'est superbe. Amicalement Ange de lumière |
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Ange de Lumière |