Terre fille de l'oubli.
Aujourd'hui tu te classes dans l'erreur
Et dans ton sein, les humains sèment l'horreur.
La négativité que t'apporte cette civilisation
Classifie tes dimensions
Dans une échelle où tes vibrations
Accusent l'oubli de ta progression.
Tu es une planète définie
Dans l'immensité de l'indéfini.
Tu es l'écran des univers différentiels
Le devant de la scène, où se joue l'essentiel.
Aux confins de l'au-delà, d'autres formes vibrationnelles
Visualisent l'ascension
De ton évolution.
O terre ! Tu oublies trop souvent l'essentiel.
Les siècles s'égrennent autour de ta rotation
Et ta compréhension reste l'envers de ton ascension.
Secoue-toi et ébranle les édifices de cette civilisation
Qui t'ont perturbée dans ton avancement.
N'oublie pas que tu es une école ou, les progressions
Ne s'élèvent que trop lentement.
Les différentes classes qui s'échelonnent en ton sein
Obscurcissent la lumière qui te ceint.
Terre, tu es une fille malheureuse
Et la nuit te pèse.
Rappelle-toi que ta dimension
Est à son plus bas niveau d'évolution
Puisque, guerres et violences font partie de ta gravitation.
L'accès à la spiritualité
Te sera inaccessible car un voile de futilité
Recouvre ton immensité.
Terre, abandonne la témérité
Et tu découvriras la vérité.
PAROLES DE L'AU- DELA
DECEMBRE 1984.
Écrit par daniel
"Les grandes pensées ne pénètrent que l'âme contemplative."
Catégorie : Divers
Publié le 23/05/2009
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de daniel au hasard |
Annonces Google |