Je commence une série de brefs portraits, chacun en quatrain, avec des mots de nos grands parents, le premier le voici, c'est :
"Le tire aux flancs" où "le bras cassé"
Quand on l'appelle, il attend,
Et quand la besogne presse,
Ne se dépêche pas tant,
Il n'y va que d'une fesse.
à suivre
Écrit par flipote
Sans peur je balance en ligne Mes mots de mamie indigne.Bien pis ! je persiste et signe.
Catégorie : Drole
Publié le 22/04/2012
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Commentaires
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Posté le 22/04/2012 à 08:30:49
Il n'y va que d'une fesse. C'est très drôle. Bonjour flipote. ;-) |
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Iloa Mys |
Posté le 22/04/2012 à 11:44:37
Belle expression pour un tire au "cul" | |
PATGUI |
Posté le 22/04/2012 à 16:47:54
Un portrait en 4 lignes, c'est très fort ! Tu es intarissable, flipote, toujours aussi étonnante. | |
Nighty |
Posté le 22/04/2012 à 19:00:50
C'est drôle ! Vous êtes une vraie conteuse ! Dire tant de chose en si peu de mots est une performance. On imagine parfaitement notre homme ! | |
Lomaedi |
Posté le 17/07/2013 à 23:29:04
Chez moi le tir aux flancs est déjà un bras cassé. Et en général ils sont sourds à l'appel, peu courageux, genre famille de Lérots. Enfin des hibernants patentés. J'aime vos récits...! Amicalement. André |
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mameralice |
Posté le 22/01/2015 à 00:10:18
C'est suffisant et si clair ! Drôle | |
Moi80 |
Commentaires
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