Rouge sang, chair rouge, embellie au soleil
Que les sombres machines, poussèrent dans l'au-delà
Ô esprits, ô merveilles, qui mènent au trépas
Dans la nuit sans matin, ni bourdon des abeilles

Sans amour ni salaire, il finit cette prière
A son enterrement, personne ne fut présent
Sous la terre de ses pairs, il finit sa carrière
Ô démons sans enfants, qui firent couler le sang

Le meurtre de soi-même n'est pas humanitaire
Révoltons nous mes frères, contre cette régression
Contre ces os de fer, telle est notre mission

Pour retrouver enfin, cette harmonie passée
La nature est parfaite, il faut la protéger
Tant que l'on vit sur terre, il faut la respecter.