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Tout a commencé par un grand boum
Qui a fait crac,
M'a mis le cœur en vrac,
Et dans l'affolement infernal
A laissé mon corps patraque.
Apocalypse d'une nuit
Dans la découverte de la vie,
J'ai grand ouvert les yeux,
Devant la mort, à n'en plus finir,
Pour la comprendre et l'apprivoiser,
Surtout ne pas se l'approprier
Pour qu'elle ne tue pas ma liberté.
Après un combat acharné,
Les muscles tétanisés,
Je l'ai battue, je l'ai vaincue,
Mais les séquelles restent sans issue.
Ce bruit de glace qui casse,
Ce bruit de porte qui claque,
Ce bruit de vitre trop pénible
Qui annonce une nouvelle nuit sans dormir,
S'enchaîne l'une sur l'autre sans faiblir
De cadence et d'envie.
C'est la courte histoire banale d'un cambriolage,
D'une violation de l'esprit
Qui s'en cesse se renouvelle, au milieu de mes rêves.
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J' aime bien, surtout les 3 derniers vers qui donnent beaucoup de sens au reste. | |
Sylvain |
moi j'aime bien les vers qui disent ce bruit de glaces qui casse ce bruit de porte qui claque ce bruit de vitre trop pénible |
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Miss |