Un dernier supplice dans la durée,
L'esprit déjà mort, loin du monde,
Dans un palais de couloirs rotondes
Aux milles facettes et milles recoins,
Des monstres talapoins,
rythment sa vie quotidienne
Bref comme un antienne,
Qui étouffe la vie
Sans jamais de regrets.
Puis un matin
Le temps s'est arrêté,
Comme un rêve éveillé,
Une lueur d'espoir apparaît,
Une simple petite étoile
Dans un ciel sous voile,
Pourvu qu'elle éclaire quelque peu
Les bords de mes chemins caillouteux...
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Commentaires
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Posté le 25/11/2008 à 17:36:46
il est super ton poème , et oublie pas que je suis là et je veux bien t'accompagner sur tes chemins caillouteux ^^ amitié LyLi |
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lyli-lu |