Si loin de tout ça
De votre peuple pacifique
Jamais je connaitrais cette
Que vous ignorez à chaque Tic
Fouetté, battu et violé
Tout ça pour votre paire de souliers
Vous êtes traités comme des rois
Vous ne connaissez même pas votre
Au pays de la chaleur
Vous ne voyez même pas ma souffrance
Nombreux jours où vous vous dorlotez
Pendant que je meurs sans la
Mon père m'y a obligé
On était dans la misère et dans la pauvreté
À sept ans fil à coudre à la main
Avec repas, un morceau de pain
Cette
Mes patrons ne veulent même pas que je le prononce
Ils disent que cela détruirait ma productivité
Pourtant je ne veux que m'amuser
C'est maintenant le temps de vous dire au revoir
Même si vous ne voulez pas y croire
Vos paires de souliers auront fait une autre mort
Sans connaître ce mot en or.
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Je pense que j'aurais laissé un commentaire positif sur l'écriture de ce poème bien construit mais la fin plus que moralisatrice me laisse perplexe. Le poème, à mon sens, se suffisait en lui-même si tu voulais faire passer un message. Je suis aussi horrifiée quant au travail des enfants c'est quelque chose contre laquelle nous devons lutter mais tu n'as pas à nous moraliser, chacun agit en son âme et conscience. |
Harmonie  |
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Rien a redire, totalement d'accord avec toi mais si une personne réfléchit avant d'agir cela ne changera absolument rien quant aux chiffres d'affaires ! Il faudrait des milions, des milliards de gens pour faire changer les choses et malheureusement impossible ! Mais très bonne réflexion j'y pense un peu plus chaque jour. Très beau texte ! |
| sweet revenge |
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Ben merci pour les commentaires je commence dans le domaine de la poésie alors pour ce que julie a dit merci, j'aime bien les critiques positives |
jipeto7  |