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Que le vent vous emporte
Oh mon bébé d'amour
Tant de souffrance, tant de haine,
Tant de mépris, tant de pensées malsaines,
Excuse les êtres de rester sourd.
Ils marchent sur les chemins sans fin,
Leurs lumières obscures
Crèvent leurs yeux couleur luxure
Ils sont les fourbes de demain.
Oh mon bébé d'amour,
Toi qui possède la vision divine,
Tu les vois errer dans ces prisons d'aventurine,
Souffrant d'avoir un faux discours.
Oh mon bébé d'amour
Ils ont crachés sur mon passé, ils ont sali mon être
Eux, pantins parfaits, veillant sur nos âmes, prétendent être des Maîtres.
Pas une erreur sur leur parcours.
Ils jettent de l'amour comme une poignée de terre,
Se disperse au vent comme le sable à la mer,
Il ne reste plus rien que ces mots pour les taire,
Car je n'ai pas le pouvoir de leur montrer la vraie misère.
Mes yeux, dans la nuit, sont ouverts par leur présence.
Écoute ton coeur et ne les laisse pas détruire ton bonheur,
Eux les sages pleins de courbures qui ne veulent que ta douleur,
Resteront clowns grotesques gavés d'insuffisance.
Écrit par kutauluatu
ecrire toujours
Catégorie : Amour
Publié le 10/01/2008
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