Sur ce lac d'un bleu étincelant, le soleil vient, en se couchant,
Un millier d'éclats dansants, reflet d'un visage envoûtant,
Rêverie d'un tel rayonnement, réalité d'un cœur incandescent.
Charmé par l'éclat de ces traits, de ce sourire, je devins attrait,
Émerveillé par ce divin portrait, je ne pourrai m'en dérober.
L'espoir de la revoir sur ce lac, mais tristement parti… sans retour,
Accompagné d'une voix élégiaque, grande tristesse de l'amour,
Chaque instant à ne voir qu'une flaque, chimère d'un jour.
Unique sentiment affligé, désespoir d'un homme abandonné,
N'oubliant pas le visage illuminé, de l'être tant aimer.
Vivant à travers le mensonge, d'un seul et unique baiser,
Ivre de ce funeste songe, portant mon âme en ce brasier,
Souffrant de cet amour qui me ronge, mon cœur est égaré,
Anéanti par le sort de la vie, amertume de l'espérance,
Grande argentée de la nuit, pourquoi tant de souffrance,
Enfin… mourant… le cœur meurtri…, devant ma non-délivrance….
Écrit par larme de vie
Il est l’alpha et l’oméga, le commencement et la fin.
Catégorie : Triste
Publié le 23/11/2007
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Triste à découvrir... | Poèmes de larme de vie au hasard |
Annonces Google |
Merci pour ce poème. | |
Iraenocte |
lol j'aime beaucoup ton commentaire, simplement de rien. Amicalement, larme de vie. |
|
larme de vie |
je n'aurai qu'un mot a te dire merci | |
haevens |
Très beau poème | |
pichounne |