Marchant tel le Big Foot : (n'aimant guère voir mes pieds)
Au ciel, les yeux levés, je cherche cette étincelle
-Oui- celle qui me rappelle qu'ici rien n'est réel,
Qu'en aucune apparence, on ne peut se fier.
Car à trop la chercher, on perd sa vérité,
Celle qui ne se trouve plus que dans un bout de ciel,
Et du fond de tes yeux, me dit que tu es belle,
Car au fond de mon cœur, c'est toi ma vérité.
Il faut tenter de croire ce qu'on ne peut pas voir.
Plutôt que par tes yeux, sentir avec ton cœur.
Tes doutes et fausses idées, tu dois les laisser choir :
Pour qu'enfin en mon cœur, susciter le bonheur.
Et même si tu oublies, de moi, ces quelques rimes ;
Moi je n'oublierai pas : pour toi, j'ai fait cette hymne.
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Commentaires
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Posté le 28/08/2006 à 18:55:56
trés beau poème d'amour! | |
junon |
Posté le 28/08/2006 à 19:21:13
Oui, très joli ! Et j'aime beaucoup l'image du Big Foot. ;o) | |
Fantome_Bagarreur |
Posté le 29/08/2006 à 15:15:11
Merci beaucoup pour vos commentaire. Je suis très content que l'on ait apprécié mon image du Big Foot, lol. | |
lepoet |